Je cultive ma santé
- Comment vivez-vous le fait d’être malade ?
- Que ressentez-vous ?
- Quelles sont les émotions qui vous habitent lorsque vous êtes malade ?
- Quelles sont les pensées qui vous viennent ?
- Comment pensez-vous guérir ou vous en sortir ?
- Vous sentez-vous responsable de votre maladie ou des évènements que vous vivez ?
- Pouvez-vous imaginer avoir une attitude différente vis à vis de votre maladie ou de vos difficultés ?
- Que pourrait-être cette attitude ?
- Si vous adoptiez une attitude nouvelle, à quelles autres remises en cause seriez-vous conduit ?
« La vie de tous les jours est le jardin où nous pouvons planter la graine de la personne que nous voulons devenir. »
Jon Kabat-Zinn
La maladie
Nous sommes tous porteurs de microbes, de virus et de cellules potentiellement cancéreuses, mais nous ne déclenchons pas tous la maladie qu’ils sont censés apporter. Une maladie n’apparaît que lorsque l’agent pathogène rencontre un terrain favorable.
Comment se fait-il que, lorsque nous sommes confrontés à la souffrance physique, il nous est difficile de penser clairement. Des émotions soudaines et des sensations inattendues nous embuent l’esprit, ralentissent ou bloquent nos capacités mentales ou physiques.
Il existe un relais entre nos pensées, nos émotions et notre corps physique; sujet des recherches en Psychobiologie Quantique©.
La maladie naît d’une altération dans l’échange qui existe entre le corps physique et les corps émotionnel, mental,….
La maladie peut-être considérée comme une invitation à prendre conscience de nos faiblesses. Si nous y répondons, nous pouvons apprendre à nous renforcer et à faire un pas vers une meilleure connaissance de soi.
Une liberté nouvelle prend la place de l’étroitesse, l’éventail des possibilités intérieures s’agrandit. D’autres comportements, d’autres sensations, d’autres pensées s’ouvrent.
« Agis toujours de manière à augmenter le nombre des choix possibles. »
Heinz von Foerster
L’harmonie corps-esprit avec la Sophrologie Caycédienne©
La Sophrologie Caycédienne© peut-être d’une grande aide pour vivre pleinement le moment présent. Elle donne du sens et des valeurs positives à l’existence, créant une harmonie entre le corps et l’esprit.
Souvent, notre esprit est tourné vers le passé ou le futur ce qui ne nous donne aucune maîtrise de notre vie. Le passé repose sur les regrets, les souvenirs. Le futur repose sur l’inconnu, l’angoisse et le stress.
Le seul moyen de s’équilibrer est d’apprendre à vivre le moment présent.
« Prends soin de ton cerveau et ton cerveau prendra soin de ton existence, prends soin de ton coeur et ton coeur prendra soin de ta vie. »
Pr. Alfonso Caycedo
Bien manger
Le stress non seulement divertit de l’énergie de nos systèmes de défense, mais aussi est inflammatoire, et son neuromédiateur, la noradrénaline fait entrer du fer dans nos cellules, en plus de créer des tensions dans nos muscles, accélérer notre coeur, agiter notre tube digestif, … . Or le fer est un puissant facteur de croissance de tout microbe.
Le magnésium est le principal modulateur des effets de la noradrénaline, donc le freinateur de l’entrée intempestive de fer dans les cellules, mais il est aussi le catalyseur des opérations de production d’énergie. Or la disponibilité d’énergie en quantité est un facteur clé dans la capacité de produire assez d’anticorps et de globules blancs.
Vous l’aurez probablement observé, c’est suite à des fatigues que l’on attrape des infections, et encore plus sûrement suite à des fatigues causées par le stress.
Notre microbiote évolue tout au long de notre vie et peut-être perturbé par de multiples facteurs:
stress / prise de médicaments / infections virales / consommation d’alcool / changements hormonaux / pratique trop invasive de sport / pollution / mauvaise alimentation …
Les grandes règles : manger moins, mastiquer soigneusement, éviter les produits laitiers, éviter le sucre raffiné, réduisez votre apport en sel, privilégiez des produits frais, évitez l’alcool, mangez beaucoup de légumes, réduisez votre stress, apportez des oméga-3, bougez plus.
Bien bouger
Pour mener une vie équilibrée, nous devons être actifs et nous impliquer, et aussi approfondir les choses et nous reposer. Quand nous sommes en mouvement, en train de courir, travailler, marcher ou autre, l’esprit est engagé dans un processus qui mobilise le système nerveux sympathique. Si nous ne respectons pas un équilibre entre le système nerveux sympathique et le système nerveux parasympathique, à travers le repos et l’approfondissement, nous nous retrouvons nerveux, susceptibles et émotifs. De longues périodes de surstimulation peuvent affecter les organes et la circulation sanguine.
Lorsque nous sommes actifs, nous obéissons généralement à des schémas éprouvés qu’il est difficile de modifier dans le feu de l’action. Il faut souvent qu’un drame ou un changement majeur survienne pour que nous ralentissions et ressentions un quelconque intérêt à cultiver le mode parasympathique.
Quoique nous fassions, nous avons le pouvoir de nous éveiller et de réaliser notre potentiel. Nous pouvons faire du sport avec énergie, et surtout nous nous sentons indéniablement mieux.